Quand le soleil sur la rivière
Chauffe les berges égayées
Les amants sur leur litière
Froissent les draps, les oreillers
Se sont reconnus, se sont aimés
Comme les oiseaux au mois de mai
Leurs corps repus dorment enlacés
Début de temps nouveaux, sentiments entremêlés
La jouissance flux et reflux , tous les sens contentés
Quand la neige sur la rivière
Gèle les eaux moins agitées
Les amants revenus d'ébats éphémères
Comme fardeaux longtemps trainés
Sans promesses convenues, sans reproches amers
Laissent souvenirs les plus beaux
Sur leur couche délaissée
La neige et le soleil sur la rivière
Confondent les amants esseulés
Chère Denise,
RépondreSupprimerAu risque de me répéter, ce soir je te dirai, que tu possèdes une plume des plus aiguisée. Tu as écris un poème remarquable que je relirai.
Louise
J'abonde dans le même sens que mon amante. Bourrée de talent, chère cousine. Bravo!
RépondreSupprimerJ'aime! ;) xxx
RépondreSupprimerJ'abonde avec les dires de Louis et Louise; vous avez réellement une belle plume!
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